Carole : 11 et 12 avril 2009

Plus belle la qualif !

 

Le circuit Carole accueille donc la deuxième manche des Coupes de France Promosport.
Charline, retenue pour raisons professionnelles, ne défend pas ses chances en Coupe Kawasaki sur cette manche.
Laurent, comme sur l'épreuve du Mans deux semaines plus tôt, participe à cette manche en Promosport 1000, à titre d'entraînement sur le ZX-10R pour le Championnat de France d'Endurance.
Carole n'est pas le tracé préféré de nos deux pilotes de vitesse, et Corentin comme Julien n'ont pas que de bons souvenirs sur la piste francilienne.
Pour le premier, la qualification est automatique, compte tenu du nombre de participants, et on sait que son expérience lui permettra de bien gérer ses courses pour terminer en très bonnes places.
On sait aussi que se qualifier sera difficile pour le second, sur ce petit circuit dont la grille n'a que 30 places, que vont convoiter près de 80 pilotes. Mais les bons résultats de la première manche au Mans nous rendent confiants et on est assurés que Julien se donnera entièrement pour obtenir le meilleur possible.
Globalement, les prévisions se sont révélées correctes ...

 

Corentin, privé par le règlement 2009 d'essais libres hors week-end, nous rejoints sur le paddock vendredi après-midi pour y effectuer les contrôles administratifs et techniques.

C'est samedi à 12h35, par un beau temps ensoleillé, qu'il effectue sa première session de roulage, composée de 20mn d'essais libres chronométrés.
Alors qu'il nous avait jusqu'à présent habitué à des démarrages en douceur, il décroche le deuxième temps dès son 3ème tour en piste, avec un chrono de 1mn29.2s.
Place qu'il perdra bien vite pour tenir le cinquième temps durant pratiquement toute la séance. C'est au 11ème tour, sur 13 parcourus, qu'il obtiendra son meilleur chrono en 1mn27.161s. Il est à une seconde du meilleur temps et obtient finalement le septième de cette séance d'essais libres.

A 18h00 samedi, les choses sérieuses commencent pour Corentin. Le temps est sec, mais menaçant, pour la séance d'essais chronométrés qualificatifs qui lui donnera sa place sur la grille de départ des finales.
Le premier tour chronométré le place en cinquième position, qu'il perd rapidement. En dehors d'un troisième temps au quatrième tour, il oscille entre la septième et la neuvième place.
Au neuvième tour, il améliore substanciellement son chrono en 1mn26.267s ce qui le fait remonter à la cinquième place, juste avant qu'un drapeau rouge n'interrompe la séance au tour suivant.
Corentin et ses concurrents repartiront quelques instants plus tard pour 4 dernières minutes d'essais, mais personne n'améliorera ses temps, ce d'autant plus que quelques gouttes de pluie font leur apparition.
C'est donc en tête de la deuxième ligne qu'il prendra le départ de ses deux finales.

Dimanche matin, au lever du jour, il pleut. La première finale de la Junior Cup ouvre le bal à 8h30 et Corentin n'est pas rassuré. C'est en effet la première fois qu'il va prendre le départ d'une course sous la pluie et il appréhende beaucoup le résultat. Nous tentons de le rassurer en lui rappelant la seule stratégie à avoir : rester sur ses roues pendant les 12 tours de course.
Il réalise un bon départ et sort septième au premier virage. Il boucle son premier tour en 9ème position. Il est dixième dans le dernier virage du deuxième tour mais une double chute lui laisse la huitième place sur la ligne.
Au cours des quatre tours suivants, c'est l'hécatombe ... pour ses concurrents : une chute par tour au moins. Corentin, lui, reste sur ses roues, sans prendre de risque, mais en osant tout de même de bons freinages.
Au cinquième tour, il est donc sixième et garde cette place dans les tours suivants, en creusant même l'écart avec ses poursuivants. Il termine son 9ème tour par une belle attaque où il passe cinquième, juste avant qu'une chute ne fasse s'agiter le drapeau rouge.
Les deux-tiers de la distance prévue ayant été effectués, la course ne repartira pas et le classement est celui du huitième tour, soit sixième. L'un des pilotes qui le précède n'étant pas classé au championnat, Corentin emporte donc les 11 points de la cinquième place après une course parfaitement gérée. La pluie en course ne lui fait plus peur !

La deuxième finale a lieu dimanche à 13h30 dans des conditions bien différentes. Le Soleil est légèrement voilé mais la température est quasi estivale. C'est toujours de la cinquième place sur la grille que Corentin s'élancera pour 13 tours de course.
Il réalise à nouveau un bon départ, mais prend l'inter au premier virage, se fait enfermer et c'est en neuvième position qu'il franchit pour la première fois la ligne.
Il est huitième au deuxième tour, au sein d'un paquet de tête bien détaché de huit pilotes, qui n'en compte très rapidement plus que sept après une chute au début du troisième tour.
Deux dépassement parfaitement bien gérés dans les quatrième et cinquième tours l'amènent en cinquième position. Au huitième tour, il se fait toucher au virage d'Hôtel et rétrograde à la septième place. Mais il ne s'avoue pas vaincu et récupère très vite la cinquième place au dixième tour.
Mais dans le dernier tour, il sort septième du virage de Golf et sur un freinage d'anthologie à l'entrée du dernier virage, il récupère la sixième place quasiment sous le drapeau à damier, à l'issue d'une belle course où il aura encore montré toute sa combativité.

Encore un bon week-end pour Corentin, sur un circuit qu'il n'aime pas vraiment ! D'un peu moins bonnes places qu'au Mans, c'est certain, ce qui peut expliquer une légère déception de notre pilote gapençais. Mais c'est un total de 21 points qu'il engrange et qui lui permettent de se maintenir largement dans le peloton de tête au championnat, dont il est quatrième.
Toujours aussi combatif sur piste sèche, il sait maintenant qu'il est capable de performances similaires sous la pluie, qui ne lui fait dorénavant plus peur. A nouveau du beau travail ce week-end !

 

Julien arrive à Carole dès mercredi midi pour profiter de l'après-midi d'entraînements libres proposé par le circuit. Cela s'annonce mouillé ... et c'est tant mieux, car il n'est pas encore très à l'aise avec le CBR sous la pluie et du roulage dans ces conditions ne peut être que bénéfique.

A 14h00, effectivement, il pleut. Les réglages de chassis sont donc assouplis en conséquence. La piste est très grasse et glissante. Malgré du dribble, Julien se sent assez à l'aise au freinage. Après une dizaine de tours, Julien rentre. Le moteur paraît manquer de puissance et lorsqu'il veut repartir, un claquement inquiétant se fait entendre.
On décide donc de démonter pour voir ce qui ne fonctionne pas. La boîte à air est mal enfoncée sur la rampe, ce qui provoque une prise d'air très néfaste. Tout cela est remis en place et le moteur semble à nouveau tourner comme une horloge.

A 16h00, lorsque Julien repart, la pluie s'est transformée en bruine. Il constate immédiatement le retour de la puissance ... qui ne devait pas être pleine non plus lors de la course du Mans !
Un premier chrono "significatif" sous la pluie tombe : 1mn25.4s. Pendant une heure, on travaille sur les réglages de suspension : on fait une modification, puis Julien roule une dizaine de tours, fait ses commentaires, et on modifie à nouveau le réglage. A la fin de cette session, le réglage n'est pas encore parfait et le meilleur chrono sous la pluie est de 1mn23.8s.

Après une petite pause qui nous permet de prendre notre place sur le paddock, Julien repart à 18h30 pour une dernière session d'environ 20 mn. La pluie s'est arrêtée depuis une petite heure et la piste commence tout juste à sécher. Le chrono tombe en 1mn21.5s. Le bon compromis semble avoir été trouvé pour l'hydraulique, mais l'amortisseur est encore trop raide pour le mouillé.

Jeudi, Julien n'a droit qu'à une seule séance d'essais libres, à 14h. Le Soleil est de la partie et la piste est sèche. Des réglages sont testés pour corriger le problème de dribble. Il rentre à mi-séance pour modifier le réglage de l'amortisseur puis repart. Sur la séance, son meilleur chrono sera de 1mn08.5s. La moto est toujours instable au freinage et pompe à l'accélération. Cette séance aura permis à Julien de tester la démultiplication, qui sera raccourcie.

Vendredi à 12h, c'est un temps nuageux, mais chaud et sec qui accompagne Julien pour sa première séance d'essais libres de la journée. Un drapeau rouge l'interrompt au 5ème tour et nous en profitons pour modifier les réglages. Sur les 25 mn d'essais, il rentrera trois fois pour tester de nouvelles configurations de réglages. Aucune ne le satisfait vraiment : la moto est sous-vireuse et perd facilement l'avant sur les bosses. Le chrono s'améliore néanmoins d'une seconde en 1mn07.45s.

A 17h, c'est la pluie qui semble vouloir donner le rythme de la deuxième séance d'essais libres de la journée. Elle cesse peu avant le départ de Julien et la piste devient séchante. Les réglages ont été assouplis pour ces conditions. Pendant la première partie de la séance, les chronos tombent très vite ; le meilleur temps sera de 1mn13s. La pluie fait à nouveau son apparition pour la fin de séance et le chrono remonte donc à 1mn21s.
Julien, et c'est nouveau, est très à l'aise sur le mouillé ! Il est propre, fluide et les freinages sont plutôt excellents ! Voilà donc une séance très positive pour notre pilote 600.

Samedi matin, au vu des résultats de la veille, Julien espère une météo humide. Mais c'est un temps ensoleillé qui l'accompagnera pour sa séance d'essais chronométrés à 09h50.
Après avoir détenu le sixième temps de sa série pendant 2 tours, il améliore moins vite que ses concurrents et prend la 13ème place au huitième tour. Il rentre quelques instants au dixième tour, puis repart, sans avoir perdu son 13ème temps, qu'il garde jusqu'à la fin ... ou presque, puisqu'un dernier effort dans le dernier tour lui permet d'améliorer et d'obtenir le 12ème temps de sa série en 1mn06.460s.
Au cumul des trois séries d'essais chronométrés, Julien obtient le 35ème temps, sur 78 concurrents. 30 pilotes seulement participeront à la finale dimanche, mais rien n'est fait : c'est en course qualificative que se joue la qualification !

Samedi après-midi, ce sont trois courses qualificatives qui décideront de la grille de départ de la finale. Dans chacune d'entre elles, les huit premiers pilotes qui, au bout de 19 tours, franchiront la ligne d'arrivée seront qualifiés.
Julien participe à la deuxième, à 15h55. Le temps est beau et sec et il est 11ème sur la grille de départ. Pour résoudre les problèmes de dribble, le ressort arrière a été changé pour un ressort plus souple.
Julien cabre au départ, puis gère très bien le premier virage et c'est en 9ème position qu'il termine son première tour de piste. Au bout de quelques tours, il est dans un paquet de quatre pilote, qu'il ne quittera plus jusqu'à la fin de la course.
La moto n'est pas parfaite au freinage et cela lui fait perdre du temps. Il prend la dixième place au neuvième tour et la défend pendant 7 tours. Au seizième tour, il prend la onzième place, puis récupère la 10ème place à l'avant-dernier tour. C'est à cette place qu'il passe le drapeau à damiers, en ayant réalisé son meilleur chrono dans le dernier tour : 1mn05.820s.
Julien n'est donc pas qualifié. Mais dans chacune des deux courses consolantes, dimanche matin, les 3 premiers seront repêchés pour la finale. A deux places de la qualification directe, il sera très bien placé sur la grille de sa consolante. Tout est encore possible ...

Comme la veille, Julien espère une course consolante humide dimanche matin. Et la météo au lever du jour semble vouloir exaucer ses voeux. Mais la pluie cesse, et à 11h20, c'est une piste séchante qui servira de terrain de jeu à notre pilote.
Il part deuxième sur la grille et, rappelons-le, les 3 premiers de cette finale B seront qualifiés pour la finale de l'après-midi.
Julien réalise un excellent départ et fait le holeshot, puis vire sans problèmes en tête au premier virage. Il passe en tête au premier tour, et au troisième tour, il a 3 secondes d'avance sur sur son poursuivant immédiat.
Il n'y a pas grand chose à dire sur le reste des 19 tours de course, sinon que Julien a réalisé une course parfaite et parfaitement gérée. Très attentif à son panneautage, il donne un coup de collier lorsque l'écart à son poursuivant se resserre et gère son avance de façon parfaite.
C'est donc une victoire de notre pilote que salue le drapeau à damier. Il est ainsi qualifié pour la finale, certes en fond de grille, mais à l'issue d'une superbe course, gérée avec grand talent et de main de maître, sans oublier un très bon temps sur une piste bien séchante de 1mn08.660s. Finalement, c'était bien plus beau qu'une qualification directe !! Merci beaucoup, Julien !

Dimanche après-midi, à 16h00, Julien part à la 25ème place de la grille de départ de la finale, qui en comporte 30. Elle se jouera en 24 tours, sous un très beau temps et sur une piste sèche.
Il réalise un départ normal (c'est-à-dire moyen pour lui puisqu'il est coutumier d'excellents départs), mais tire son épingle du jeu au premier virage, où il double plusieurs pilotes à l'exter. C'est en 22ème position qu'il boucle son premier tour.
A l'attaque, il est 19ème au quatrième tour, puis 18ème au sixième tour. Il garde cette place durant quatre tour, puis repasse 19ème, puis 20ème au douzième tour.
Malgré plusieurs tentatives de dépassement, il ne parvient pas à progresser dans le classement. Il se bat et donne tout ce qu'il a, mais la machine ne fait pas corps avec lui et ne suit pas : son comportement ne lui convient pas du tout (pompage, dribble, instabilité au freinage). Elle se révèle être son plus gros adversaire lors de cette finale.
Malgré tout, Julien conservera sa vingtième place jusqu'au bout, en creusant même l'écart avec son poursuivant. Vingtième donc, et déçu, car il sait qu'il aurait pu faire mieux avec une moto mieux réglée. Il sera finalement classé dix-neuvième après le déclassement du pilote arrivé en cinquième position.

Dix-neuvième d'une finale très disputée, dont il partait en fond de grille, et après une qualification obtenue à l'issue d'une course consolante vraiment parfaite, que nous n'oublierons pas de sitôt ! Joli résultat, quand même !
Nous avons aussi vu Julien s'agguérir sous la pluie tout au long du week-end et réaliser dans ces conditions humides des freinages tout à fait impressionnants !
Des résultats donc globalement positifs pour notre pilote 600.
Certes, il reste un gros problème : nous avons encore beaucoup de mal à régler la moto dans toutes les conditions, et il nous faut absolument progresser rapidement sur ce point pour la suite.

Pour terminer, un petit mot sur Samuel, notre pilote d'endurance, qui participait aussi en 600 à cette deuxième manche Promosport. En course qualificative, il passe la ligne juste derrière Julien (donc 11ème). Non qualifié, il est repêché, sur la dernière place de la grille de la finale, en terminant troisième de sa course consolante. Finale qu'il terminera à une jolie 17ème place.

 

Laurent, dont les occupations professionnelles ne lui laissent pas tout le temps qu'il voudrait, n'arrive que jeudi soir sur le paddock, pour participer vendredi à ce qu'il croit être deux séances d'essais libres de 25mn. Malheureusement, trop peu de places disponibles ne lui permettront d'en obtenir qu'une seule.

C'est donc à 17h30 vendredi après-midi que Laurent effectue sa seule séance d'essais libres. Il a légèrement plu juste avant et c'est sur une piste séchante qu'il s'élance.
Rien de particulier n'est à signaler lors de cette séance. La piste sèche à vue d'oeil et les chronos s'améliorent donc significativement tour après tour.
Laurent fait de bons freinages, en particulier à Hôtel, mais comme au Mans, a beaucoup de mal à reprendre confiance et à accélérer lorsque l'état de la piste s'améliore.
Il obtient logiquement son meilleur chrono en fin de séance : 1mn16.98s.

Samedi matin, à 11h15, le Soleil a fait son apparition depuis suffisamment longtemps pour que la piste soit sèche lorsque Laurent l'emprunte pour sa séance d'essais chronométrés qualificatifs.
Après quelques tours de "chauffe", il obtient un chrono de 1mn8s puis tourne de façon très régulière dans ces temps. Il obtient son meilleur chrono en 1mn07.491s au huitième tour, puis rentre dans le tour qui suit.
Il reprend la piste ensuite pour 3 tours chronométrés mais n'améliore pas ses temps. Il termine avec le 23ème temps de sa série et le 48ème temps au classement général des essais.

Samedi après-midi, Laurent part donc 24ème sur la grille de départ de sa course qualificative, à l'issue de laquelle les 13 premiers pilotes seront qualifiés. Le ciel est nuageux mais n'est pas menaçant et les 19 tours de course devraient se dérouler sur une piste sèche.
Il réalise un départ catastrophique, mais récupère sa place de départ au cours du premier tour, qu'il termine donc en 24ème position.
Il est 23ème au troisième tour, mais cède un peu de terrain dans les tours suivants et est 25ème au sixième tour. Ses poursuivants sont alors à une dizaine de secondes de lui et il peut donc se concentrer sur ce qui se passe devant. Il réalise un joli dépassement au dixième tour et passe donc en 24ème position.
Trois tours plus tard, il est sur le point d'être rattrapé par la tête de la course et est donc sorti de la piste au drapeau noir, comme l'impose le règlement.
Laurent n'est donc pas qualifié et participera à la course consolante dimanche matin. Il a cependant profité de cette course pour améliorer son chrono de quelques dixième en 1mn07.17s.

Dimanche à 12h10, il fait très beau, et même chaud, pour la consolante 1000 Promosport. Laurent, suite à ses résultats de la veille, part 22ème sur la grille pour une course de 19 tours.
Il réalise à nouveau un très mauvais départ et entre dans le premier virage en dernière place dans le peloton. Comme la veille, il se rattrape dans le premier tour, qu'il termine à la 24ème place.
Il se bat pour remonter dans les tours suivants, efficacement puisqu'il termine son quatrième tour de course en 20ème position. Pendant cinq tours, il maintient cette place et un écart conséquent avec ses poursuivants.
Mais l'écart se réduit ensuite et il passe en 21ème position au début du 11ème tour. Après avoir gardé cette place pendant 4 tours, il tente et réussit une attaque qui le replace au 20ème rang.
Il contient parfaitement bien son poursuivant jusqu'au dernier virage, dans lequel il se fait doubler, juste avant le drapeau à damier. Il termine donc à la 21ème place.

Peu de roulages (et encore moins que prévu) pour Laurent au cours de ce week-end. Notre pilote d'endurance aura néanmoins très régulièrement progressé au cours de ses différentes sessions et courses, et a montré qu'il savait se battre et ne pas lâcher le morceau avec le ZX-10R comme il savait le faire avec l'ER-6.
C'était un entraînement, et en ce sens, il a été parfaitement efficace, même si pas mal de travail reste encore à faire ...




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